L'assassinat

Tenaka était assis contzre le tronc d'un arbre, lisant tranquillement l'histoire de son ami.
Une bande de petits gamins arriva alors, lui demendant impatiemment de lire l'histoire, il s'éxecuta, au désarroi des petits elfes :

Il faisait nuit, une nuit d’un noir de jais, sans lune.
Anadris et sa sœur, Arkénoïs, se tenaient à l’ombre d’un grand pin, dans le jardin de l’assassin de leurs parents. Il habitait une somptueuse demeure près des monts Galbrock.
Des gardes patrouillaient tout autour de la bâtisse, et deja deux d’entre eux gisaient mort a l’orée de la propriété.
Une unique fenêtre était éclairée, d’où, s’il on écoutait bien, l’on pouvait entendre des gémissements significatifs. Ce devait être la chambre du maître, celle de l’assassin de leurs parents: Dantaris Arkanos.

Anadris fit signe à sa sœur de tuer les deux gardes gardant l’entrée de la demeure. Elle partit sans un bruit. Lui-même encocha une flèche et se dirigea de l’autre côté du bâtiment. Un garde patrouillait tranquillement à l’angle de la bâtisse. La seconde suivante, il gisait à terre, une flèche dans le cou.
De son côté, Arkénoïs longea le mur de la demeure, se rapprochant des deux gardes. Quand elle fut assez près, elle dégaina et couteau de lancer, et prit un poignard dans l’autre main. Elle lança la première lame qui alla se ficher dans la gorge du premier garde. Le second eut a peine le temps de réagir qu’il avait la gorge tranchée.
Quelques instants plus tard, Anadris surgit par l’autre face du bâtiment.
-C’est bon, ils sont tous morts, chuchota-t-il.
-On y va, fit sa sœur.
Sans attendre, Anadris ouvrit la porte et s’engouffra dans la maison. Sa sœur le suivait de près.
La porte s’ouvrait sur un immense escalier se séparant ensuite au deux autres, plus petits. De chaque côté du hall d’entrée, se trouvait une série de porte.
Sans hésiter, le couple d’assassins monta les escaliers, se séparant au niveau ou l’escalier le faisait. Ils se rejoignirent en haut.
Deux couloirs s’offraient à eux, à droite et gauche, chacun menant vers différents portes. Ils n’eurent qu’à suivre les gémissements significatifs d’un couple en pleine ébat pour trouver la bonne porte.
Les gémissements s’intensifièrent soudain, puis se turent.
Les deux compères se décidèrent à agir.
Anadris encocha une flèche, sa sœur ouvrit la porte.
Le trait parti se ficher entre les deux seins de la femme. Elle émit un petit cri, de surprise ou de peur, on n’aurait pas su le dire. Puis la lumière dans les yeux de la femme disparut, elle était morte.
Arkénoïs se précipita sur Dantaris, l’assassin de ses parents, le clouant au lit.
Aandris arriva derrière elle, un poignard à la main.
-Que pourrait on bien lui faire sœurette? Une lueur passa dans les yeux de l’archer.
-On pourrait lui enlever sa virilité, fit sa sœur avec un sourire malicieux, ce doit être très agréable!
-Excellente idée!
Anadris approcha son couteau de l’entrejambe de Dantaris, une lueur avide dans les yeux.
-Ne me faites pas de mal.....j’ai de l’argent...vous voulez de l’argent?...je vous en donnerai autant que vous en voulez! Mais pitié ne me tuez pas!
L’assassin de leur parents pleurait comme un bébé venant de naître.
-Sais tu, au moins, qui nous sommes, pourquoi nous sommes venu te tuer, sale chien!
-Non...je ne sais...vous voulez de l’argent je suppose...
-Tu as tué nos parents, détruisant notre foyer, violant notre mère, et après cela tu voudrais qu’on t’epargne! Pas le moins du monde!
Anadris exécuta alors sa menace, il trancha l’appareil génital de Dantaris.
-Ma sœur, je te laisse le soin de l’achever, mais fais le un peu souffrir aussi! Laissons lui se rendre compte de ce qu’il a perdu!
Anadris tendit le poignard a sa sœur. Arkénoïs s’amusa alors à faire souffrir Dantaris, elle lui traçait des lignes sanglantes sur tous le corps de l’assassin de leur parents. Puis elle lui fit une profonde entaille au ventre. Elle était sûre que cela le ferair souffrir longtemps, très longtemps...
Dantaris pleurait, criait, sanglotait, souffrait, mais il n’était pas encore mort.
-Ma sœur veux tu lui porter le coup final?
-Tuons le en même temps, toi ta lame dans le cœur, et la mienne dans le cou!
-Excellent.
Anadris sortit un autre poignard qu’il pointa sur la poitrine du mourant.
-On y va!
Arkénoïs planta sa lame dans la gorge de Dantaris, son frère fit de même dans la poitrine.
Le mourant fût secoué d’un dernier spasme, puis plus rien. La mort l’avait pris.
Les deux frères et sœurs se regardèrent un instant, dans leurs yeux se lisait la vengeance, mais aussi le bonheur, celui d’avoir accompli leur vengeance.
Ils repartirent de la demeure, franchissant le jardin et disparaissant dans la forêt.

Likan était accroupit au dessus de Tenaka et voyait la scene en souriant.
Les deux petit elfes avait sur leurs visages a présent une expression qui mélée la crainte et le dégoût.
"L'histoire t'a t'elle plus mon amis" Lui dit Tenaka.
Likan fut quelque peu surpris que l'elfe eu repéré sa présence.
Il sauta a terre, les deux petits elfes eurent un gémissement étouffés.

"L'histoire m'a plus mais les gamins m'on l'air éffrayés tenaka."

— Oui c'est bien ce qu'il me semble, mais il voulait tellement l'écouter.
Il prit de la neige et en fit une boule, la lançant sur un des petits, qui la reçut sur la poitrine, aussitôt, il reprit ses esprits et sauta sur le khan lui mettant de la neige dans le cou

Likan eu un rire étouffer

Tenaka se débarassa du jeune elfe en lui barbouillant la tête de neige, mais il les autres gamins se jetèrent sur lui, et il fut couvert de neige.
Certains voyant la bête, qui était en fait Likan, en eurent peur et commencèrent à lui jeter des boules de neiges dessus.

Likan aime bien joué mais n'aime pas trop les mioches sa pu sa vomis et c'est moche, il mit un violent coup de pied dans l'arbre derrière lui mettant tout le monde sous un énorme amas de neige, y compris lui.