Une hécatombe dans la forêt sombre.

Ritn cherchait cette nuit là de quoi s'occuper car après son arrivée il s'était bien reposé et il était maintenant en pleine forme.
Sachant que cette partie de la forêt était reputée pour ses hommes-bête, l'envie de se dégourdir les articulations et de s'occuper de bête l'avait amené ici.

J'avancais doucement. J'entendais des sons, des mouvements qui prouvait qu'il y avait quelques choses d'anormale. J'entendais des pas lourds, des sauts longs. Une bataille était en train d'avoir lieu apparement, et Tenaka devait surement s'y trouver. Je sortis Sashendir, mon épée, prêt à l'aider.

Juste derrière moi un homme-bête allait m'attaquer. La forêt était plongée dans l'ombre, et avec la discrétion féline dont tout elfe noir est dotée je le contournais pour le surprendre par derrière.

Le problème c'est qu'il sentit tous de suite ma présence alors il se retourna tout de suite et me donna un gros coup de point en même temps ce qui me projeta à 6 mètres de lui. Je me relevais tout de suite et à ce même moment deux autres hommes-bêtes arrivèrent sur moi, par derrière. Je fis disparaître Sashendir dans le néant, envoyant ensuite une boule de feu sur l'homme-bête qui venait de me donner un coup.
Je sortis deux épées légères et longues. Me retournant je savais exactement quand envoyer une boule de feu sur les bêtes.
Alors avec mes deux épées j'attendis que les hommes-bêtes viennent à moi pour leurs donner à chacun des coupures aux jambes.

Blesser aux jambes les hommes-bêtes ne pouvait plus que se battre avec leurs bras. L'un deux déracina une vielle souche et me l'envoya. 'Ugnousse' aprés avoir dit ces paroles tout en rejoignant mes deux épées, n'en faisant plus qu'une. Avec cette épée je coupais en deux la souche qui arrivait sur moi.
Le deuxième en profita pour courir sur mon coté gauche, là où comme par hasard je suis le plus faible. Il sauta sur moi mais à cause du choc de la souche, tout de même, je ne pus éviter son attaque.
Il me déchira la hanche gauche et le dos. Je me remis vite de cette attaque, mais derrière moi l'homme-bête qui avais reçu une boule de feu s'était remis.

Les trois hommes-bêtes étaient autour de moi. Un devant un derrière et maintenant un sur ma droite.

La pleine lune monta plus haut, elle était grosse et aucun nuage se trouvé devant elle.
Celà montrer mon jour de chance.

Je cria très fort :

'DEMONIUS'

Après avoir crier ces paroles je fit disparaître mes épées.

Le sort que j'avait jeté et dont j'étais la cible me fit contracter tous mes muscles. Puis je grandis, après quelques secondes je fesais 2 mètres et demi. Tous mon torse s'élargis. Dans le milieu de mon dos deux bras poussèrent, leurs mains ne possédant que trois doigts. Mes oreilles pointues grandirent et des cornes du diable poussèrent sur mon front.

Pendant tous ce temps les hommes-bêtes n'avait pas attaquer peut-être avait -il peur de ce qui arrivait. Celui de derrière fit un cri long et grave.

Aprés se cri trois autres hommes-bêtes déboulèrent.

Ma transformation sous ma forme démoniaque était finie.

Je refis apparaître Sashendir dans ma main droite principale, dans la gauche je fis apparaître une épées massive. et dans les deux autres je mis les épées légères de tout à l'heure.

Deux autres hommes-bêtes arrivèrent.

Celà commençait à faire trop sous cette forme je pouvais facilement battre les trois du début et peut être un quatrième mais huit celà commençais à faire trop.

Likan ne fatiguai pas. Néanmoins l venait de se débarasser des monstres qui l'avaient assaillit. Il riait maintenant, devant le regard épouvanter et colérique du reste des hommes-bête, en sautant a pied joint sur le visae du dernier qu'il venait de tuer.
Puis il redescendit. Le silence se fut autour de lui. Il se baissa sans crainte d'etre assailliten traitre et ramassa une lourde massue aussi grande que lui et dont le rectangle en fer était aussi large qu'un tronc de chêne.
Il rejeta cette nouvelle arme sur son épaule et sourit la têt en biait tel un être machiavélique, qui ne prenait du plaisir que dans la bataille, la violence, et le combat jusqu'a la mort.
Ils se jettèrent tos sur lui. Likan découvrai cette arme. Il la jeta a bout de bras de toute ses force et envoya deux hommes bete au tapis, tous les os de la partie droite de leurs corps étant brisés.
Il leva ensuite la massue au dessus e sa tête et l'écrasa avec forc sur un homme-bête (pour des raison de censure évidente je ne peut vous communiquez les détails sordides suite a cette dernière attaque, aller tt de suite regardez un feuilletons sur la vie des homards.).
Il se retourna et remarque que ritn était en difficulté.
Il haussa les épaules et décida que, à cette distance il ne pouvait tenter que le tout pour le tout. Il tenait sa longue massue de deux metres trente a bout de bras a l'horizontale.
Et avec uneforce démesurer il la jeta en direction de ritn.
L'arme tournait e cercles vers ritn, qui ne l'avait pas remarquer, étant encerclé.
oups

"RITN BAISSE TOI ! "

L'un des hommes-bêtes allait m'attaquer quand j'entendit Likan au loin me crier : "RITN BAISSE TOI !".
Je vis l'énorme pierre arriver vers moi alors je m'abaissais.
La pierre que Likan avait jeter mis à terre deux des hommes-bêtes et celui qui allait m'attaquer aussi.

Quand je me relevait je pouvait enfin me battre contre mais ennemies sans pour autant craindre de perdre.
Je n'attendit pas qu'un des homme-bête m'attaque je lançais l'épée de ma main gauche secondaire pour l'envoyer dans le coeur d'un des hommes-bêtes.
Tout en même temps je fit la même choses avec ma main secondaire droite.
Pendant que les hommes-bêtes mourrait je fit apparaître de nouvelles épées dans mes mains secondaires.

Sashendir frémisser dans ma main, elle avait besoin de sang.

En même temps que je faisais apparaître les épées les trois derniers hommes-bêtes n'attendit pas. En voyant ça j'envoyais Sashendir sur le premier homme-bête qui arrivait sur moi.

La rapidité de Sashendir pour s'envoyait en plein dans le ventre de l'homme-bête me surprit encore une fois. Cette épée magique revint par elle même dans ma main à la même vitesse qu'elle en était partie.

Un nouveau homme-bête arriva derrière moi car je l'endait arriver et le reflet dans mon épée qui n'avait pas encore servit me le confirma.

On croira ce qu’on voudra, la bataille semblait ne plus en finir. Des odeurs de sang et de morts commençaient sérieusement à émaner du sol devenu boue. Cette ancienne clairière symbole de paix et de tranquillité s’était transformée en un champ de bataille où la terre gorgée d’eau mettait alliés et ennemis en difficulté rien que pour se déplacer. Se battre dans cette bouillasse était un véritable surmenage. Les blessés et les mourants se tortillaient sur le sol, tenant contre eux leurs membres manquants ou déchiquetés. Les soigneurs elfes tentaient désespérément de se frayer un chemin parmi les combattants enragés, allant chercher les blessés, l’espoir de les ramener et de les soigner maigrissant aussi vite que la bataille s’éternisait.
L’épée au clair, Aloe regardait autour d’elle avec effroi. Une véritable pagaille se déroulait sous ses yeux. Un homme bête se rua sur elle avec une rage démesurée, devenu complètement fou, tous ses moyens de se maîtriser s’étant envolés en fumée sous la violence qui l’entourait. Il fendit l’air en deux de sa grosse massue parsemée de lames, manquant de peu d’arracher la tête de la jeune femme, qui profita du déséquilibre que lui infligeait son assommoir pour lui envoyer son épée dans le dos, lui brisant la colonne vertébrale. Dans un râle ahuri, l’animal s’effondra sur une autre carcasse qui semblait être là depuis longtemps.
Le visage tacheté de boue et de sang d’Aloe se tourna une nouvelle fois vers le champ de bataille. Beaucoup trop d’elfes tombaient, les ennemis revenaient toujours en surnombre. Au loin, elle aperçut un homme recouvert de fourrure plus grand que les autres qui rugissait, la gueule tournée vers le ciel. Ses acolytes autour de lui brandirent épée, boucliers pour l’acclamer, et une autre vague d’hommes bête se déversa sur les premières lignes de l’infanterie elfique, aidée par les archers embusqués. L’humaine comprit que cette bête était un des meneurs ennemis. Son regard devint meurtrier. « Fait tomber la tête, et le corps mourra » se dit-elle intérieurement. D’un geste sec, elle fouetta l’air de sa lame, rejetant le sang qu’il y avait dessus, traçant une ligne rouge dans la boue. Puis, elle courut vers le commandant des premières lignes d’infanterie, transperçant les quelques hommes bêtes qui tentaient de lui barrer la route.

- Lieutenant ! Lança-t-elle.

- Dame Aloe ? Reculez, je vous en pris, c’est bien trop dangereux ici !

Son visage ensanglanté trahissait la peur et le désespoir. Il menait ses troupes pour l’amour de la forêt et des elfes, mais si il avait pu, il serait parti en courant. Aloe n’écouta pas ses conseils.

- Nous allons charger, c’est notre seule et unique chance d’atteindre un des chefs là bas ! Elle lui indiqua l’immonde bête qui frappait sur son bouclier avec un gourdin d’une manière sauvage. Vos hommes nous créeront une brèches, et vous et moi, nous ciblerons cette vermine ! Nous pouvons le faire, et de toute façon, si nous ne tentons rien nous allons pourrir sur place !

La pluie s’était mise à tomber avec force. Le lieutenant d’infanterie donna ses ordres et les objectifs à ses soldats qui se regardèrent entre eux d’un air sceptique. Puis, dans un cri de rage et d’encouragement, le gradé beugla :

- CHAAAAARGEZZZ !!!!

Ils foncèrent tous ensemble dans la masse d’hommes bêtes en hurlant comme pour extérioriser les dernières forces qu’il leur restait. L’impact avec l’ennemi fut rude, plusieurs guerriers mordirent la poussière, entraînant avec eux un grand nombre de créatures. Aloe ne s’était pas arrêtée de courir. Sa lame tranchait, décapitait, mais ses jambes continuèrent de la porter jusqu’au leader des adversaires. Près d’elle, le lieutenant gardait le rythme, il semblait plus confiant qu’une seconde auparavant. La cible se rapprochait, des cris de douleur leur parvenaient aux oreilles. La pluie leur fouettait le visage, diluant encore plus la boue, rendant encore plus difficile la course. Le rideau d’eau qui s’abattait sur eux leur volait une visibilité très importante, comme si le ciel était avec ces créatures hideuses.
Dans un coup d’épée, elle envoya valser un homme bête plus petit que les autres et beaucoup trop sûr de lui. Et c’est enfin qu’elle arriva à portée du chef de cette partie de l’armée ennemie. Apparemment, il l’avait vu venir, et c’est alors qu’elle lui envoya son épée en direction de son visage qu’il para abruptement, la repoussant en arrière. Le gradé de l’infanterie elfique attaqua aussitôt après, se défendant courageusement. Mais la boue lui joua un mauvais tour. Son pied s’enlisa à une vitesse folle jusqu’au genoux, et alors qu’il se démenait pour s’extirper, la massue de l’animal enragé s’abattit violemment sur lui dans un bruit écoeurant d’os brisés.
Furieuse, L’humaine asséna le monstre du plus de coups rapide qu’elle le pouvait, l’eau et le sang lui ruisselant sur le visage. Mais soudain, son épée se stabilisa dans les airs, coupée dans son élan. Une grande douleur dans le dos venait de l’immobiliser. Sans autre forme de procès, le meneur à poil la repoussa en arrière, et elle tomba sur le dos en contre bas de la petite bute où elle était perchée quelques secondes auparavant, et dans un bruit de peau déchirée, la flèche qu’elle venait de recevoir finit de lui traverser le corps, aidée par le sol qu’elle venait de percuter. La douleur était insoutenable, et commençait à l’aveugler, elle ne voyait plus rien, ça lui faisait trop mal, elle ne pouvait pas supporter. Sa tête se mit à tourner fortement. Elle allait mourir, elle le sentait, il suffisait qu’un ennemi se rende compte qu’elle respirait encore pour l’achever, ne la laissant pas agoniser en l’attente d’une mort certaine. Il n’y avait plus rien à faire. Les cris et les bruis d’armes entrechoqués étaient sourds à ses oreilles. La pluie lui rafraîchissait le visage…
Tenaka… Elle aurait donné n’importe quoi pour le revoir une dernière fois avant de passer dans l’eau delà… Elle aurait voulu embrasser Kendal et Anaël aussi… Leur dire combien elle les aime… Tenaka… Où es-tu… ?

Tenaka combattait avec toute la hargne dont il était capable. Quand il était question de sa forêt, ses forces étaient décuplées pour la défendre. Ses bras tournoyaient à une vitesse folle dans l'air, abattant des hommes-bêtes qui s'empilait autour du seigneur de la forêt. Il commençait à sentir ses pieds s'embourber, ce n'était pas bon. Les elfes n'avait pas l'habitude de combattre dans la boue, et la pluie et la boue pourraient bien devenir un atout pour leurs ennemis. Et justement un de leurs chefs semblaient haranguer ses soldats, rugissant comme un démon au milieu de la foule des bêtes. La même idée traversa le Khan qu'Aloe, s'il voulait avoir une chance de remporter cette battaile il faudrait tuer le mal à se source.

Le demi-elfe jetta un rapide coup d'oeil sur ses amis et son aimée, constatant que Likan et Ritn semblaient se débrouiller, il vit Aloe, suivi par son régiment d'elfes, charger en direction de la bête que Tenak avait vu rugir. Instinctivement le Khan sourit, approuvant tout à fait la charge de sa fiancée. Mais il savait aussi que sa troupe était trop petite et que pour avoir une chance de vaincre le chef et de pouvoir encore survivre, Aloe aurait besoin de l'aide de son aimé. Ce qui lui fit afficher un autre sourire en coin, sa dulcinée n'aimait jamais trop qu'on l'aide. Mais vu la situation et le danger, Tenaka n'hésita pas et fit sonner la charge.

- CHHHAAARRRGGEEZ !

Le cri resonna quelques instants après celui d'Aloe et les elfes se précipitèrent à la suite de leur seigneur, tailladant tout homme-bête sur leur chemin. Aloe était déjà au contact, il ne lui restait plus que quelques mètres avant d'aller affronter l'immense bête. Tenaka tua un homme-bête. Sa dulcinée se faisait repousser. Une autre bête tomba sous les coups du Khan tandis qu'il voyait d'un oeil un de ses lieutenants se faire déchiqueter. Plus que quelques mètre et le Khan serait au contact. Tuant rapidement un autre homme-bête il vit la flêche siffler en direction d'Aloe, la frappant de plein fouet. Tenaka eut l'impression que la flêche le frappait en même temps, il crut que son coeur allait s'arrêter. Il la vit basculer en arrière et courut comme un fou vers elle, tuant sans sourciller les hommes-bêtes sur le passage. Il sauta sur la bête lui planta son épée dans le cräne et dans le même mouvement rejoignit Aloe, alors que les larmes lui coulaient déjà des yeux, inondant le visage déjà trempé de sa dulcinée. Il n'arrivait pas à y croire, ça ne pouvait pas arriver, pas elle... Tenaka la regarda dans les yeux, souriant tristement, elle était toujours vivante, mais si on ne la soignait pas vite.... Le Khan ne préférait pas y penser, son coeur était déjà au bord du gouffre, alors il n'avait que ce mince espoir pour ne pas y tomber.... Il l'embrassa tendrement....

- Je t'aime Aloe..... UN SOIGNEUR VITE !

Saphira, la dragonne de Tenaka ressentit la douleur de son maître ami, elle était aussi durement frappé que lui, et secrètement, la dragonne espérait pouvoir soigner Aloe. Prenant son envol elle se dirigea vers le lieu de la bataille, bien décidé à ne pas voir mourir Aloe... A force de la cotoyer elle avait commencer à l'apprécier et elle comprenait pourquoi Tenaka était tombé amoureux d'elle.

Likan se débarrassa d'un homme bête à sa portée. Faisant tournoyer sa massue. défonçant des cranes, le licanthrope sentait chaque os se brisaient sous ses coups massif. Lorsque son ésprit l'attirat dérriere lui. Tenaka était pencher sur aloé. Visiblement bléssée, son amis les larmes aux yeux, son dragons se dirigeant vers eux. Mais le bataillons de défence s'amenisait au fur et a mesur que les énemis se jetaient vers eux.
le licanthrope de réfelchit pas, comme a son habitude il se jetta dans le tas.
Se frayant un chemin vers ses amis. ne sentant plus les lame qui s'enfoncées dan ses cotes et dans sa poitrine.
Dans un rugissement éffrayant, furieux, tel un le cris d'un lion rageur. Il souleva avec une force impréssionant l'homme bete le plus proche de ses amis, puis il le brisa en deux sur sont genoux. Dansun bruit de craquement éffroyable. Ses yeux rougir de rage.
tenaka ne l'avais pas remarquer.
Aloé perdée beaucoup de sang. Et le dragon n'était plus très loin.
Le seul membre de la garde rapprochée du kan n'était autre que le sergent, frère d'arme.
Cote à cote, les lames encore plantées dans le corp de likan. Il les protégaient.
Il attrappa la tete d'un homme bete parmis tant d'autre et la jetta sur son genoux.
dans unerage féroce et implaccable. Likan tué tout se qui se présentait a sa portée.

Ce tout premier soin réveilla Aloe et lui arracha un hurlement de douleur. Ses doigts s’étaient à nouveau crispés sur Tenaka, et son visage arborait une grimace. Une larme coula au coin de ses yeux fermés. Le sang se mit à couler encore plus sur la boue qui envahissait le sol. Le regard perdu, les yeux presque blancs, Aloe respirait très vite, son cœur s’emballant, peinant à nourrir son corps qui se vidait petit à petit. Ses mains se serraient toujours plus, ses phalanges blanchissaient. Ses lèvres s’entre ouvrirent, et elle murmura dans son délire.

- Tenaka…

Sa main froide chercha la tienne et la serra avec une force vaine.

Likan lir bataille comme jamais auparavant, prendre conscince que ses amis étaient en dangés lui procurait une force inimaginable.
Il soulevait les hommes bêtes a bout de bras, et dans un élan de fureur les envoyés se brisés sur le sol.
Likan avait de plus en plus de mal a réspirer. Il baissait la tête contemplantde haut son corp massif de licanthrope meurtrit.
Les épées et les flêches l'avaient traspercées.
Dans un éssouflement de colère envers lui meme, de ressentir cette douleur qui le feiné alors que ces amis avaient besoin de lui, il attrappade ses deux mains, deux claymore figées dans ses cotes et les retira d'un coup sec. Puis dans un rugissement de douleur retira les autres flêches a demi plantées, ses muscles puissant aillant retenue leur avancées.
Il haletait telle un loup blésser.
Puis il se renit compte que les hommes-bêtes n'avançais plus, ils regrdaient souffrir, un souffrir pervers sur la gueule, le triste couple que likan protégeait de toutes ses forces.
Certain paraissaient éffryés par le dragon, d'autre non, aillant fait sa connaissance auparavant.
Likan bouillait de colère face à ette perversité. Il contracta ses avant bras, laissant surgir dans un crissement, ses longues griffes et planta deux hommes bêtes, les souleva puis les déchiqueta.
Revenus à la réalitées, les autre se jetterent sur lui.
lancant d'un même geste leurs massue vers son crane.
Le lycantrhope neut que le temps de les stoppés a la main. La violence du choc le fit penetré e sol jusqu'au genou.
Mais il se releva.
Pendant les minutes qui lui parurent interminables, jamais il ne posa le genou a terre. A chaque fois que sont dos se courbait sous les coups, il refaisait face a d'adversaire. Infatguable combattant, guider, porter par l'amitiée.

Likan se battait comme un dératé lorsqu'il entendit un cris de douleur. Il se retourna et vit le sergent fier vers lui sans toucher le sol. Il rattrappa le sergent avec son bras droit et le souleva a auteur de gueule, lui souriant de tout ses crocs.
Avec son habituelle voie grave:
"Ou tu vas comme sa petit homme ? "
Le sergent le regarda aussi en souriant puis dit :
" 126 ..."
Likan compris tout de suite. Il renvoya le sergent de l'aute coté en l'entendant rigoler.
Blesser dns son orgueil, le lycanthrope hurlait à chaque hommes-bête tuer.
" 122 ! 123!! 124 !!! 125 !!! "

Un sourire heureux vint enfin s'afficher sur les lèvres de Tenaka. Aloe semblait aller mieux, bien qu'elle ait perdu beaucoup de sang et qu'elle fut epuisée. Il ne put s'empêcher de lui déposer un doux baiser sur les lèvres et de lui murmurer un autre "je t'aime".

- Saphira va t'emmener en sécurité. Il faut que j'aide Likan et le sergent sinon il ne tiendront jamais ! Ca te va ?

Une vague de soulagement envahit peu à peu Tenaka. Aloe était vivante et cela le rendait plus qu'heureux. Il l'aimait de tout son corps, de tout son coeur, de toute son âme et jamais il n'aurait pu imaginer la perdre...

La jeune femme acquiesça d'un hôchement de tête aux paroles du Khan. Puis elle articula :

- Ex... Exterminez les tous! Mon amour... Prend soin de toi.

Un faible sourire se dessina sur ses lèvres.
Elle voulu se redresser pour rejoindre la dragonne, mais ses bras ne purent qu'à peine bouger. Toutes ses forces l'avaient abandonnée. Elle soupira de découragement.
La fatigue lui emplissait les yeux, et tous ces bruits de combat lui devinrent insupportable tout à coup. Si seulement tout pouvait s'arrêter, se mettre sur pause...
Elle se maudissa intérieurement d'être inutile à présent, et de ne pas pouvoir continuer d'exterminer ces brutes épaisses.

Tenaka sourit en entendant les paroles de sa bien aimée et vient à elle pour lui déposer une baiser sur les lèvres.

- Ne t'inquiètes après cela, je te jure qu'il n'en restera plus un seul...

Une petite flamme brulait au fond des yeux de Tenaka, mélange d'amour et de rage... Puis il prit Aloe dans ses bras et la déposa avec le plus de douceur possible sur sa dragonne. Il la cala correctement afin qu'elle ne risque pas de tomber et lui lança un dernier sourire.

- On va bien s'occuper de toi maintenant, ca va aller chérie.... Je t'aime

Aloe s'accrocha aux piques de la dragonne, lui glissant un mot de remerciement au creux de l'oreille.
Puis son regard se posa sur Tenaka :

- Je t'aime aussi. Reviens moi entier.

La dragonne se redressa et étendit ses larges ailes écailleuses qui se mirent à battre l'air d'un coup sec, la faisant décoller.
L'humaine sur son dos put alors voir la bataille de haut, la tête posée contre le cou de la dragonne. On voyait à peine le sol boueux tellement il y avait de cadavres étendus. Aloe ferma les yeux, sentait l'air lui caresser le visage. Elle prit sur elle pour ne pas s'endormir, ayant peur de tomber. Saphira survolait la forêt en direction du château.